Les résultats de la Global Financial Literacy Survey, qui ont été présenté le 25 juin par l’OCDE, présentent une terrible performance de l’Italie en termes d’alphabétisation financière. Avec seulement 11.1 points dans le Financial Literacy Score, l’Italie gagne la dernière position dans le classement, au-dessous de la moyenne des pays OCDE (13 points), ainsi que des autres 26 états qui ont participé à l’enquête (12.7).
L’élément qui a principalement affecté le résultat absolu a été insuffisante connaissance financière: avec 3.9 points sur 7, le score des adultes italiens est le pire parmi les pays de l’Europe centrale en second lieu seulement à la Roumanie.
Enfin, un autre primat négatif domestique concerne (malheureusement) la disparité entre les sexes dans les résultats généraux: les femmes italiennes, avec celles colombiennes, ont collecté les pires scores parmi les participants.
Avec l’engagement pour combler les inégalités entre les sexes et la fracture numérique, Global Thinking Foundation travaille chaque jour pour améliorer la résilience, le bien-être et l’inclusion financière, afin de prévenir l’abus économique. La Fondation va participer pour la troisième année au Mois de l’éducation financière, organisé par le Comité italien pour la programmation et la coordination des activités d’éducation financière.
Le 7 mai ont été présenté à Paris les résultats de 2018 de la troisième enquête du Programme for International Students Assessment sur le niveau d’éducation financière des étudiants de 15 ans prévenants des 20 pays qui y ont adhéré.
En observant le classement PISA 2018, l’Estonie gagne la première position, l’Indonésie se colloque en dernière position et l’Italie se positionne au-dessous de la moyenne OCDE (505 points), avec 476 points. En plus, 20% des étudiants italiens n’attendent pas le niveau de base qui présuppose la compensions de l’importance d’un simple budget personnel.
Dans tous les pays on apprécie un fort lien entre les résultats d’alphabétisation financière et ceux en mathématiques et lecture, mais aussi en ce cas l’Italie fait exception, où la performance en financial literacy est de bien 15 points moindre de celle en mathématiques et lecture.
De la photographie de 2018 n’émergent pas compulsivement des larges différences de genre: seulement 2% des garçons a obtenu des résultats meilleures des filles, mais on enregistre une autre exception italienne, avec une moyenne des garçons supérieur de 15 points de celle des femmes.
La Didactique à distance en famille et le choix multidisciplinaire.
La performance des étudiants n’a pas nécessairement un lien positif avec le PIB du pays ou avec la possibilité d’accéder à des produits financiers de base. Il devient donc important d’analyser d’autres aspects comme l’inclusion de l’éducation financière dans les programmes didactiques et d’autres aspects comportementales et d’aptitude en matière d’argent. En ce sens, l’Italie est à l’avant dernière place pour l’exposition des élèves à l’enseignement des concepts financières à l’école.
1) Les différences entre filles et garçons en mathématique.
Dans les Pays OCDE, la différence moyenne entre filles et garçons en mathématique est de 5 points en faveur de ces derniers. En Italie, cette différence est majeure : 16 points. Il parait que l’écart entre garçon et filles soit présent surtout dans les tranches moyennes et élevées de résultat, plutôt que dans celles plus baisses.
2) Les différences entre filles et garçons en sciences.
Dans PISA 2018, pour la première fois par rapport aux cycles dans lesquelles les sciences ont été le majeur domaine d’enquête, l’écart de genre dans les résultats de l’alphabétisation de genre change de signe et, conformément à la moyenne internationale, les filles obtiennent un résultat moyen de 2 points supérieur à ceux des garçons. En Italie, les résultats de 2018 de filles et garçons ne sont pas statistiquement différents (garçons 470 vs filles 466). Toutefois, par rapport aux différents filières d’étude, l’écart est significatif et assez marqué au sein des lycées ou les garçons obtiennent en moyen 25 points plus des filles; il est aussi significatif même si plus contenu dans les Instituts techniques (14 points en moyenne). Au contraire, dans les autres filières d’étude filles et garçons réalisent, en moyenne, des résultats statistiquement non différents entre eux.